Là-haut La douceur du vent balaye la douceur de ces longues herbes,
Un désert, apparait alors, avec ses vagues et ses creux,
Toujours aussi doux, ce désert laisse place à deux oasis,
Deux soleils, qu'ils soient de telle ou telle couleur, ces oasis donnent soif,
Soif à en devenir aveugle, soif à ne plus pouvoir réfléchir.
Une montagne pointe alors le bout de son nez à l'horizon,
Et donne l'accès à cet espace, doux et sucré,
Humide et sec à la fois en fonction de ce qu'il exprime.
Puis cette vallée, qui n'en finit jamais,
Qui donne des frissons.
Voilà alors un endroit, spécial,
Les frontières sont plus lointaines, mais toutes aussi magiques,
Un endroit solide d'où partent deux routes,
Pour la sécurité, et le réconfort.
Cet endroit, qui nous retient
Cet endroit que l'on voudrait retenir.
Viennent alors deux montagnes,
Ouvrant sur une vallée.
Un arbre pousse en haut de chacune de ces montagnes,
La légende raconte qu'ils sont les arbres qui auraient donnés la vie.
La vallée s'avance sur un plateau,
Personne n'a jamais su sa véritable forme, étendue,
Certains l'ont décrit plat,
D'autres Rond,
Et certains vallonneux.
Si les descriptions étaient différentes tous disaient la même chose :
Le bruit qui en sortait était un cadeau
Que chacun enviait à l'autre.
Chacun de ses bruits était "le plus joli du monde"
C'est alors que la route se divisa.
Gauche ou droite?
Chacune était identique,
Chacune incitait à reparcourir ce paysage, afin d'en profiter,
Chacun aime cet endroit, qui oblige à repartir voir au début,
Connaitre et connaitre,
Encore et encore ce paysage qui nous faisait rêver.
Le chemin du milieu était interdit.
La légende racontait également ceci :
Le paysage était vivant,
Le chemin du milieu fut connu par un seul aventurier.
Mais jamais personne n'eu d'explications.
Mais tous ceux qui avaient eu l'occasion d'approcher ce paysage,
Etaient repartis heureux.
Ce paysage, était sans aucun doute le seul miracle que Dieu fut capable de créer :
La Femme.
Hommage à toutes les femmes, gardiennes de leur beauté mystérieuse.
Si les hommes vous aiment, c'est parce qu'ils sont jaloux de vous Mesdames,
De votre grâce, et de votre courage.